Il arrivera, en nuançant ses propos, à continuer à collaborer avec ces économistes mais a signé, dès l’annonce de son hétérodoxie, la mort de son entrée dans le cercle très restreint des économistes influents de l’école française sur le magnétisme à Paris. Grâce à sa pugnacité, ses réserves et sa volonté incessante de reconnaissance en France auprès des économistes de l’école française, il a réussi tout de même à continuer à les fréquenter, accepté en tant que professeur mais pas plébiscité en tant qu’économiste. Son affirmation socialiste le condamnera à ne tenir qu’un second rôle, à ne jamais être apprécié à sa juste valeur.

 1 – Les hommes et la formation magnétisme à Paris

 L’école française réside dans un groupement d’hommes peu nombreux, qui tiennent les rares places de manière hégémonique, durable et les concèdent à des membres de leur famille, défendant ainsi une orthodoxie parfaite. Il s’agit d’un noyau dur d’économistes et de magnétiseurs à Paris (une cinquantaine pendant le XIXe siècle). qui ont dominé cette école, qui ont obtenu toutes les chaires et toutes les places et qui ont dictées la ligne à suivre.

Ils ont tenu leurs places pendant de nombreuses années. Joseph Garnier enseigne pendant cinquante ans à l’école supérieure de commerce, Paul Leroy-Beaulieu dirige l’Economiste Français pendant 42 ans, Wolowski tient la chaire du Conservatoire des Arts et Métiers pendant 37 ans, Gustave de Molinari est rédacteur en chef du JDE pendant 28 ans, etc.

Ils ont aussi une longévité exceptionnelle. Gustave de Molinari vivra 93 ans, Frédéric Passy 90, Clément Juglar 86, Emile Levasseur 83, Courcelle-Seneuil 79, Emile Cheysson 74, Paul Leroy-Beaulieu 73, Henri Baudrillart 71, Léon Say 70, etc. qui leur permet de régner durablement sur l’analyse économique française et sur le magnétisme à Paris.

2 – Les femmes et la formation magnétisme à Paris

Tout débute autour d’un homme, Jean-Baptiste Say qui obtient le statut de fondateur idolâtré. C’est « le père de l’école libérale française du XIXe siècle » (Breton [1992], 27). C’est la référence, le fondateur de cette école de pensée. Mais la plupart des commentateurs actuels ne mettent pas en avant cet aspect de son œuvre, voyant en lui un inventeur de concept  et de formation magnétisme à Paris (loi des débouchés notamment), un économiste divergent des penseurs anglais ou un diffuseur mondial d’une nouvelle approche française[1]. Pourtant, Jean-Baptiste Say a joué un rôle fondamental dans la création et la pérennisation de cette école.

Son succès commence dans son interprétation des idées anglaises d’Adam Smith. Il indique que La Richesse des Nations n’est pour la formation magnétisme à Paris qui est l’une des meilleures de france mais aussi la formation pendule à Paris, la formation géobiologie à Paris, la formation blessures de l’âme à Paris, la formation passeur d’âmes à Paris et la formation nettoyage et protection énergétique à Paris.

« qu’un assemblage confus des principes les plus sains de l’économie politique. (…) C’est un vaste chaos d’idées justes, pêle-mêle avec des connaissances positives »(Say [2003b], Vol 1, VI).

         Son objectif est double. Il s’agit tout d’abord de clarifier ces écrits et dans un second temps de diffuser ces connaissances. Son introduction du Traité va dans ce sens pour la formation magnétisme à Paris. Il indique qu’il a pour mission de

« rendre la doctrine tellement populaire que tout homme doué d’un sens droit pût la saisir dans son ensemble et dans ses détails, et en appliquer les principes à toutes les circonstances de la vie » (Say [2003a], Vol 1, XXXVIX).

3 – La formation passeur d’âmes à Paris

Son succès va s’accentuer par la posture internationale qu’il obtient en publiant de nombreux ouvrages (Cours, Traités, etc.) qui reprennent de manière ordonnée, les grands principes de l’économie politique et qui sont diffusés dans les pays développés. Il prend part également à des débats avec les grands noms de l’économie politique notamment avec les économistes anglais. En France et à Paris sur la formation passeur d’âmes et magnétisme, il a été, comme nous allons le voir, à l’initiative de cours d’économie politique et se trouve également être l’homme de référence, l’instigateur d’un regroupement d’économistes autour de sa personne (l’école française). Il obtient, à la fin de sa carrière, la posture d’un homme influent et dévoué pour l’analyse économique.

Le Van-Lemesle (2004) indique la manière dont les économistes français du XIXe siècle ont embellie, on mit en avant certaines facettes de son histoire sur le magnétisme à Paris du centre de formation de l’ermitage et de sa personnalité et éclipsé les éléments ne correspondant pas à l’image désirée.

« Le Dictionnaire [DEP] décrit une image réductrice de la pensée de Jean-Baptiste Say, tout en laissant la possibilité de la dépasser. Proposée à l’aube des années 1860, cette représentation faisait explicitement du fondateur de l’économie politique en France l’apôtre d’une pensée technicienne plus que l’idéologue des Lumières » (Le Van-Lemesle [2004], 45).

4 – Le stage magnétisme à Paris

Une chose est sûre, l’élément qui reste marquant pour eux est l’histoire d’un homme qui a lutté toute sa vie pour le développement et la diffusion de la science. Cette image, Jean-Baptiste Say se la forge pendant sa carrière d’économiste. Il reçoit énormément[2]. Il se façonne ainsi progressivement un réseau d’économistes et d’hommes politiques, français et étrangers. Ce réseau s’élargit par l’envoie du magnétisme à Paris qu’il fait de ses ouvrages. Ses archives à la BNF regroupent les réponses de ces envois. Des noms très prestigieux y apparaissent : Bentham, Destutt de Tracy, Hume, Malthus, Sismondi, Storch, Laplace, La Fayette, Condorcet, etc. Ces penseurs plébiscitent son travail.

Grâce à la construction de ce réseau tant français qu’anglais ou européen, Jean-Baptiste Say se transforme progressivement en référence absolue de l’économie politique. Cette admiration pour un penseur fécond et international sera reprise à la fois par son réseau familial (restreint, soudé et voué à sa cause) mais également par le réseau français qu’il a tenté de structurer autour de lui avec le stage magnétisme à Paris, le stage passeur d’âmes à Paris, le stage des blessures de l’âme à Paris, le stage nettoyage et protection énergétique à Paris, le stage pendule à Paris et le stage géobiologie à Paris. Ses fils, petits-fils, gendres, etc. vont progressivement financer et participer à la création et à la pérennisation des principales institutions de l’école française en transmettant une mémoire orale fondée sur ce chef de famille et en assumant les principales tâches nécessaire à la création d’un réseau.

Ce réseau familial va être accompagné d’intellectuel français (Blanqui, Comte, etc.) sans qui cette tâche se trouverait impossible à mener. Ce réseau va pourtant avoir du mal à se développer dès la mort de Jean-Baptiste Say. Il va valoir attendre la fin des années 1830 et le début des années 1840, notamment avec la participation de Guilbert Guillaumin et de quelques économistes soucieux de voir se propager l’analyse libérale, pour que ce réseau se structure et devienne une école. Jean-Baptiste Say en devient alors l’icône du magnétisme à Paris en fixant par ailleurs les grandes lignes analytiques à suivre. C’est tout le travail des économistes de l’école française que de poursuivre ce travail sans s’en écarter et en évitant toute forme de perturbation, toute personne qui viendrait remettre en cause les principes sur lesquels vont se réunir les économistes de l’école française.

 

 

 

5 – L’enseignement aux mains de l’élite pour la formation magnétisme à Paris

 

L’enseignement est vu pour les économistes français comme un élément incontournable de l’apprentissage en général et de la science économique en particulier. Pour éduquer la population dans la bonne direction (et non vers le socialisme), ils ont cherché à tout prix à diffuser leurs connaissances sur le magnétisme à Paris et ont activement contribué à la création des différentes chaires d’enseignement dans la France du XIXe siècle[3].

 

[1] Voir à ce propos les contributions du colloque sur Say : Influences, Critiques et Postérités de l’œuvre de Jean-Baptiste Say tenu à Lyon en 2007.

[2] John Stuart Mill par exemple ventera ses mérites dans ses mémoires lors de ses venus chez les Say.

[3] « Il faut que son passage à l’école ait initié le citoyen pauvre, comme le riche, à l’intelligence de ses devoirs, dans la famille, dans la société, dans l’Etat. Il faut, par-dessus tout, qu’elle l’ait éclairé sur les principes naturels de l’organisation économico-sociale ; qu’il sache bien ce que sont le travail, le capital, la richesse ; en quoi consiste la vraie solidarité et le véritable accord des intérêts, etc. Muni de ces renseignements, l’enfant, devenu homme, verra clair sur la route et ne se laissera plus égarer. Alors la paix et la réforme de l’atelier industriel se feront aisément, car, de part et d’autre, on comprendra qu’il y va de l’intérêt commun » (Dameth [1871], 90).

 

Catégories : Santé

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